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L’histoire d’Israël : les enjeux du processus de paixL'histoire d'Israël et son avenir, vus par l'astrologie Note : cet ouvrage fut écrit en 1995 Ce processus de paix commencé subjectivement en 1982 et officiellement en 1993, que va-t-il advenir ? Certes, ce que la clairvoyance des nations en fera ! Si cette clairvoyance a quelques chances d'être soutenue par la lecture cyclique et symbolique des processus historiques, c'est en dégageant aussi clairement que possible les enjeux du futur en termes de sens et de dates. En termes de sens nous avons noté l'interférence de deux structures cycliques à partir de 1966-1967 :
Les précédentes conjonctions Uranus-Pluton eurent lieu en 1850-1851, 1710-1711, 1597 et 1453-1455. Cette dernière date, nous l'avons déjà souligné, marque la fin de l'Empire Romain d'Orient. Le début des années 1850, date qui correspond aux premières implantations juives en Palestine, interfère avec les destinées de l'Empire ottoman sur le déclin. Cet Empire, que les chancelleries occidentales qualifiaient de "vieil homme malade", sera officiellement enterré en 1923 avec la proclamation de la République turque. Il convient donc de replacer la naissance d'Israël dans un contexte historique plus large, à savoir la succession des Empires romain, byzantin puis ottoman. Tour à tour les Romains, les Grecs, les Francs et les Turcs ont envahi ces immenses territoires quasi-désertiques du Moyen-Orient. Seule la civilisation musulmane née à Médine avec Mahomet a su rassembler les tribus indigènes, les réunir au nom d'une foi commune, puis développer une civilisation florissante. Or l'Empire islamique vit - vivait - au rythme des conjonctions Uranus-Neptune alors que les "colonisations" successives sont symbolisées par les cycles Uranus-Pluton. Finalement, pour comprendre les enjeux contemporains du Moyen-Orient, il faut réfléchir non pas aux deux mais aux quatre structures cycliques qui, à des degrés divers, interviennent et parfois interfèrent :
Le processus de paix n'appartient pas au même courant signifiant que la question des Territoires occupés relatifs à la conjonction Uranus-Pluton en Vierge de 1965-1966. Le premier parle de dialogue, de reconnaissance mutuelle des Etats palestinien et israélien, d'établissement de justes relations entre deux peuples ; le second réactive la mémoire collective des croisades et, plus proche de nous, les souvenirs de la colonisation franco-britannique perçue comme une ingérence occidentale. Or, le carré croissant entre ces deux planètes se formera seulement entre 2012 et 2015, dates où le processus de colonisation des Territoires risque de subir de profonds revers si une solution n'est pas trouvée d'ici là. A titre d'illustration, le demi-carré (45°) entre Uranus et Pluton était exact pour la cinquième fois le 9 décembre 1987, le jour même du début de l'Intifada à Gaza, suivie de son extension rapide en Cisjordanie. En Israël cette conjonction Uranus-Pluton s'intègre dans un existant : une situation de tensions politiques où la survie de la nation est en jeu et une mentalité collective qui s'efforce sans cesse de concilier liberté et pouvoir au sein d'une "démocratie autoritaire". Partout dans le monde, en ces années de révolte, la liberté battait en brèche les systèmes répressifs. Or Israël, dans le même temps, installait un nouveau système répressif en territoires conquis. Alors, qu'en conclure ? Conclure, ce sera sans doute l'Histoire qui s'en chargera. Nous ne pouvons ici que proposer des hypothèses :
Si cette question des "Territoires" occupe bien une place à part elle n'en doit pas moins trouver une solution pour affronter la période cruciale de 2012-2015 avec sérénité. La conjonction des trois cycles dès 1851-1852 suggère l'existence d'une confusion entre trois motivations qui guidaient l'installation des premiers colons en Palestine. Motivations qui, à l'époque, en raison même de la nature de la conjonction, étaient loin d'être claires :
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