Dans un monde très occupé à réaliser le rêve de Descartes - l’homme-machine - est-il possible de penser des voies de développement qui honorent la part poétique de la nature humaine ? Car, partout ou intervient la conscience, il y a de l’imaginaire, de l’imagination et de l’imaginal, autant de facteurs incompatibles avec le « big data » qui produit aujourd’hui un monde comptable. Lors de cette conférence nous restituons la place de l’imaginaire et de ses symboles dans notre représentation du réel devenue très objectivante, ainsi que les nouveaux paradigmes qui pourraient fonder un réenchatement du monde